* Après avoir débarrassé la rue Ali Lamali (rue de l’hôpital) de tous ses commerces informels qui empoisonnaient le centre-ville de Tizi-Ouzou et rendaient impossible la circulation automobile, voilà que petit à petit, ils se réinstallent de nouveau.
Des petites bicoques commencent à apparaître et à se développer à vue d’œil, au grand dam des citoyens.
Finalement, l’action pourtant musclée menée par les services concernés, n’a pas réussi à intimider ces marchands à la sauvette, qui en partant le soir, laissent derrière eux un spectacle désolant.
* L’augmentation du prix du sucre, à entendre ce grossiste en agroalimentaire de Tizi-Ouzou, est imminente. Malgré le démenti des services du contrôle des prix de la wilaya, la rumeur fait son petit bout de chemin et on annonce déjà le prix de 120 DA le kg, autrement dit le double du prix actuel. Le consommateur lui reste convaincu, qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Il retient comme argument la dernière augmentation effectuée sur le kilogramme de lentilles qui est passé, il n’y a pas longtemps, du simple au double.
* Les citoyens de la ville de Aïn El Hammam, localité située à 50 km à l’est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou, attendent toujours le raccordement des foyers au gaz naturel.
Ce raccordement, tant promis par les services de Sonelgaz, risque de tarder encore et les habitants seront contraints de vivre encore un hiver avec les moyens de bord.
Ce qui est regrettable de plus, c’est la non remise en l’état des lieux, en effet les trottoirs et les routes, sont laissés dans un état lamentable, suite au passage des équipes et engins ayant procédé à des travaux d’aménagement.
* Sur le nouveau tronçon de route reliant la localité de Chaâyeb à Akbou via la commune de Souama, une bonne partie de la chaussée au niveau de ‘‘Tassift’’, se trouve dans un état de délabrement avancé, suite aux dernières intempéries. Ce tronçon, qui n’est même pas doté de l’éclairage public, est devenu un danger permanent pour les usagers de cette route, qui continue d’enregistrer son lot d’accidents au quotidien. Maintes fois interpellés, les responsables concernés ne semblent pas s’inquiéter outre mesure, pour prendre en charge ce problème, qui prend des proportions alarmantes.
* Cela fait presque une dizaine d’années, que les citoyens de la coopérative ‘‘Tadoukli’’, située à quelques pas du stade du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou, sont confrontés à l’épineux problème d’accès à leurs habitations, surtout en période hivernale. Leur seule voie pour rejoindre leurs foyers est un semblant de route sinueuse, boueuse et impraticable en toute saison. Pour aller à l’école, nous dira un parent d’élève, nos enfants sont obligés de mettre des sacs en plastique pour protéger leurs chaussures et pouvoir s’aventurerdans cette vase, car leurs enseignants leur interdisent d’entrer en classe avec des chaussures crottées.
K. Z.