Dans le prolongement de ma contribution parue sur le site électronique Maghreb Emergent, le 30 mars 2014, et l’interview donnée à la chaîne télé Africa24, le 31 mars 2014, le problème qui se pose à l’Algérie est le suivant : peut-on continuer à privilégier les infrastructures qui concentrent la plus grande partie de la dépense publique ?
HAcked