L’université algérienne est devenu le partenaire incontournable du théâtre national grâce à ses productions et animations de festivals qui constituent un plus des plus notables pour le théâtre algérien.

Dans le cadre du Festival national du théâtre professionnel, un forum scientifique, tenu durant trois jours à la salle El Mougar, prendra fin aujourd’hui. Ce forum a pour objectif de traiter les problématiques de la critique théâtrale dans le monde arabe en général et en Algérie en particulier. Les conférences débats ont été animées par des personnalités connues du monde de la critique théâtrale tant algérienne qu’arabe. La cérémonie d’ouverture a vu la prise de parole d’ Ibrahim Newal, directeur technique du Festival national du théâtre national lequel a affirmé que « ce forum a pour but principal de mettre en exergue des idées globale qui peuvent servir la critique théâtrale dans le monde arabe ». Le conférencier a affirmé également que l’université algérienne est devenu un partenaire incontournable du théâtre national grâce à ses productions et animations de festivals qui constituent un plus notable pour le théâtre algérien. En outre, Abdelkader Hani, président du forum a affirmé que le théâtre joue un rôle très important dans les relations publiques où nous pouvons transmettre des messages pouvant influencer la société. La programmation du théâtre en tant que module dans les programmes scolaires est l’autre point soulevé par M. Hani qui a affirmé que le théâtre peut aider les jeunes générations à exprimer leurs idées librement.
Durant ces trois jours, les conférenciers ont eu à traiter plusieurs problématiques théâtrales, avec des thèmes très variés. La première journée a traité du «Rapport entre la critique et les visions dans le théâtre arabe» animé par issam Abou el Kassem du Soudan, et Azzedine Djellawi d’Algérie. La deuxième journée a vu l’animation de deux conférences
sur : «Les théories d’objectivité dans le théâtre », et « La critique de théâtre arabe par des méthodes occidentales», animées respectivement par Ali Awad Khadir d’Irak, Ahmed Weld Habib de Mauritanie, et  Wassini el Aaradj, Djazia Farghani
d’Algérie. Il est prévu pour la dernière journée plusieurs conférences animées par des algériens et des arabes, entre autres Yahia el Khoja de Syrie, et Layla Benaycha d’Algérie, ces conférenciers aborderont, bien entendu la problématique de la critique théâtrale arabe.