Le secteur privé, grand absent du cinéma syrien, doit jouer son rôle dans le développement du septième art comme il l’a fait dans l’industrie des feuilletons télévisés qui font un tabac dans le monde arabe, estiment des professionnels syriens du cinéma.
Une cinquantaine de feuilletons télévisés sont produits par le secteur privé chaque année, contre deux lorsque l’autorité publique chargée de la radio et de la télévision présidait à leurs destinées, explique-t-on
Les feuilletons télévisés syriens connaissent un large succès dans le monde arabe, alors que l’Etat est mis en cause dans la mort du cinéma national.