Madani Mezrag n’a pas le droit de créer un parti politique, le texte de loi interdit à ceux qui ont mené l’Algérie vers la situation qu’elle a traversée de revenir à la politique. il s’agit d’un texte qu’on ne peut pas contourner, ignorer ou dévoyer ses dispositions.
L’amnistie efface les peines d’emprisonnement et de réclusion mais elle ne réhabilite pas, pour autant, ces hommes politiques, elle ne peut en aucun cas permettre de reprendre des activités politiques."