"Les journaux privés ne jouent pas le jeu : en Algérie, il y a environ 360 titres de presse écrite privée mais aucun en langue tamazight.
Sur le projet de professionnalisation du secteur de la presse, les lignes ont déjà bougé il y a donc moins d’insultes et de diffamations dans la presse algérienne mais il faut poursuivre l’effort de formation pour venir définitivement à bout des manquements."