Parmi les infrastructures de recherche en projet, l’Université d’Oran dispose de 90 laboratoires agréés regroupant 1.500 enseignants-chercheurs dans 25 filières telles les sciences sociales et humaines, les langues, la littérature, les sciences et technologies, l’économie et les sciences naturelles.
Trois centres de recherche de dimension nationale sont prévus à l’Université d’Oran Es-Sénia au titre du Fonds national de la recherche scientifique.
La chimie verte, la maîtrise des risques majeurs et les sciences expérimentales constituent les vocations thématiques de ces nouvelles structures à caractère scientifique actuellement au stade d’étude.
Seront réalisés également quatre plateformes de soutien aux activités de recherche et deux incubateurs destinés à la promotion des projets de jeunes chercheurs, dont un spécifique à la biologie et à la biotechnologie.
Parmi ces infrastructures de recherche, l’Université d’Oran dispose de 90 laboratoires agréés regroupant 1.500 enseignants-chercheurs dans 25 filières telles les sciences sociales et humaines, les langues, la littérature, les sciences et technologies, l’économie et les sciences naturelles.
Le laboratoire de recherche en anthropologie de la santé a été promu au rang d’unité de recherche, pendant que l’établissement dispose cette année de 16 écoles doctorales de troisième cycle, dont 9 nouvelles et sept reconduites avec un total de 91 postes ouverts, précise l’APS.
S’agissant des activités de recherche, 1.034 enseignants-chercheurs sont mobilisés à travers 210 projets de type Cnepru (Commission nationale d’évaluation des projets de recherche universitaire), alors que 700 autres sont impliqués dans 185 projets de type PNR (Programmes nationaux de recherche).
Les travaux des chercheurs de l’Université d’Oran ont fait l’objet, en 2011, de 180 articles publiés dans des revues scientifiques internationales, a souligné Larbi Chahed, avant d’annoncer la création d’une nouvelle revue spécialisée dans les sciences sociales et humaines éditée dans trois langues (arabe, français et anglais).
En outre, la formation des étudiants est consolidée par la mise sur pied de plusieurs parcours professionnalisants dans divers domaines comme l’environnement, la technologie, la psychologie du travail et la sociologie des handicaps.
Au plan de la coopération internationale, de nouveaux accords ont été conclus par l’Université d’Oran avec les consortiums euroméditerranéens Erasmus Mundus et Tethys ainsi que des universités de France, d’Espagne, d’Autriche et des Etats-Unis d’Amérique.
Les changements climatiques, les ressources végétales en relation avec les produits pharmaceutiques et la surveillance de l’activité sismique figurent parmi les projets de recherche envisagés dans le cadre de cette coopération internationale.
L’ouverture au secteur économique national a été, quant à elle, renforcée par des conventions de partenariat avec une dizaine de grandes entreprises publiques, à l’instar des groupes Sonatrach et Sonelgaz et d’autres du secteur privé. Par ailleurs, M. Chahed a mis l’accent sur des actions ciblées cette année, dont la réception de la nouvelle bibliothèque centrale de 3.000 places pédagogiques au nouveau pôle universitaire Belgaïd, à l’est d’Oran, et des travaux de réhabilitation du Centre de recherche, d’information et de documentation en sciences sociales et humaines (CRIDSSH).