En 2009 le président Obama a choisi la tribune de la grande université du Caire pour s’adresser aux musulmans du monde entier et les inviter à respecter les libertés d’autrui et les valeurs de l’Islam, tout en se conformant à ses principes et à ses idéaux immuables. Pour paraître plus convaincant et montrer sa bonne foi, le président de la nation la plus puissante du monde, s’est attribué pour la circonstance, un nouveau nom, afin de s’appeler désormais Barack Hussein Obama. Dans son discours le président n’a pas omis d’écorcher les mauvais musulmans et de distribuer des points aux bons, version américaine. Les ‘‘Azhariens’’ présents en force ce jour-là, n’avaient qu’à applaudir cet homme venu de la lointaine Amérique, pour apprendre aux Musulmans les rudiments de leur religion. Tout les pays islamiques, semblent bien assimiler, depuis, ce discours historique, sauf l’Algérie. Sinon, comment expliquer les nuances contenues dans le dernier rapport d’Hilary Clinton sur les libertés religieuses, ou parmi les pays arabo-musulmans, seul notre pays soit mis à l’index.