Principal effet collatéral des déprédations et de la casse de janvier dernier, la destruction des infrastructures publiques et de tout ce qui s’y trouve.
Ainsi, à Kherrata, daïra et APC ont été particulièrement ciblées par certains, dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils se sont trompés d’objectifs. Brûler des archives revient à anéantir le travail de plusieurs générations de fonctionnaires.