Des images d’un monde fait de guerres, de migrations et d’oppression, et d’autres sur les femmes face à la montée de l’islamisme ont marqué les Rencontres internationales du film documentaire clôturées hier en Tunisie.
Baptisé «Doc à Tunis» à l’initiative de son président Frédéric Mitterrand, ce festival présentait 70 documentaires de tous les continents pour célébrer «un cinéma non consensuel, un cinéma fiévreux et rebelle», selon le directeur artistique Hichem Ben Ammar.
Eclectiques et souvent poignants, nombre de films ravivent des «mémoires meurtries».